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This study aims to analyse the consumption inequality between farm and non-farm households in rural Vietnam, using the data from the 2016 Vietnam household living standards survey.

The present paper applies the “recentered influence functions (RIF)” in “Oaxaca-Blinder (OB)” type decomposition as proposed by Firpo et al. (2018) to allow for the flexible distribution of the outcome variables and the non-randomness of non-farm employment that violates the classical linearity assumption.

Non-farm households have significantly higher per capita consumption expenditure than farm households for the entire distribution. The gap in expenditure is large at low percentiles and narrowing with higher percentiles. At 10th percentile, the gap is estimated at 27.1%, but it is decreasing to 11.1% at 90th percentile. Most of the gaps are explained by the differences in the observed characteristics between farm and non-farm households such as ethnicity, education, income, internal transmittances and household composition. Non-farm households are endowed with more productive factors that result in higher per capita consumption expenditure.

Gaps in ethnicity and education are found to be key predictors of the inequality in consumption expenditures between farm and non-farm households, then, government policies that are aimed at increasing access to non-farm employment and education for ethnic minorities and for rural poor households are pathways to improve rural household welfare and hence reduce inequality.

Drawing on the paradox perspective and the Job Demands-Resources Model (JD-R), we investigate how paradoxical leadership behavior (PLB) affects employee adaptive performance.

Conducted a multi-wave field study with a sample of 64 leaders and 224 subordinates (study 1), and a quasi-experiment involving 156 participants (study 2). The collected data were analyzed using ANOVA and HLM techniques.

Both studies reveal that (1) PLB exhibits a positive association with employee adaptive performance, (2) employee paradox mindset and role stress partly mediated the relationship between PLB and employee adaptive performance, (3) the indirect effects of PLB on employee adaptive performance through employee paradox mindset and role stress are moderated by employee gender-role identity (GRI).

This research developed a moderated mediation model to examine the potential impact of PLB on employee adaptive performance, which contributes to the literature by integrating the paradox perspective and emphasizing the effectiveness of combining “top-down” and “bottom-up” leadership approaches. Moreover, we elucidate the underlying mechanisms through which PLB facilitates employees in effectively managing work role tensions to enhance adaptive performance Finally, this study also extends the investigation of the contextual efficacy of PLB by incorporating GRI as a moderator.

Drawing on the job demands-resources theory (JD-R), this study aims to discuss the relationship between paradoxical leadership and job crafting (approach and avoidance), considering the moderating role of overwork climate and organisational identification in two cultural context (China and Poland).

The research was conducted on employees from diversified organisations in two different cultural context: China (N = 408) and Poland (N = 400). Statistical verifications of the three-way interaction effect were conducted with Jamovi version 2.3 and multigroup analysis with SPSS AMOS version 29.

The results showed that employees who perceive high levels of paradoxical leadership and overwork climate as well as possess a high level of organisational identification engage stronger in job crafting, both approach and avoidance. Moreover, the results demonstrated that the dimensions of culture: individualism-collectivism moderate the relationship between the variables tested, in such a way that the relationship is stronger with the lower level of individualism.

This study has two limitations: its cross-sectional design and the use of self-reported questionnaire data.

The study expands knowledge of the relationship between paradoxical leadership and job crafting in two different cultural contexts.

Le mode de transport auquel on recourt pour pratiquer le tourisme ne figure dans aucune définition de celui‐ci. Bien qu'elle soit susceptible de nuances importantes, dont quelques‐unes sont incontestablement dues à l'apparition et à l'usage de l'automobile, comme, par exemple, le déplacement d'affaires fait en automobile, durant lequel on réserve quelques heures à unbut d'agrément, ou le choix d'un itinéraire pittoresque, de préférence à la route directe, il y a intérêt à adopter la définition la plus large et la plus libérale. Dès lors, on peut tenir pour tourisme tous déplacement et séjour temporaires, non exclusivement utilitaires, permettant de visiter un lieu autre que celui de la résidence habituelle.

Le 14 juillet 1943 — qu'on veuille bien considérer la date! — lorsque j'exposais devant un auditoire dont on ne saurait nier les aptitudes scientifiques le sujet suivant: «Système et principaux problèmes d'une doctrine scientifique du tourisme», je me heurtais à l'absence de compréhension et d'intérêt d'une grande partie de l'assemblée, bénéficiais de l'estime mêlée de commisération d'un petit nombre d'auditeurs et ne trouvais l'adhésion que de quelques‐uns. Personne ne demanda la parole. Or, depuis 1941, il existait un Institut de recherches touristiques à l'Université de Berne et un Séminaire de tourisme à l'Ecole suisse des hautes études économiques et commerciales de Saint‐Gall; de plus, en 1942 avait paru l'ouvrage fait avec mon collègue Krapf sur les fondements d'une doctrine générale du tourisme. La publication, peu de temps après, de ma conférence quelque peu remaniée et développée, resta longtemps ignorée.

Lorsque l'AIEST me confia la rédaction d'un des rapports de base pour son XXe Congrès à La Haye sur le thème l'«Apport Culturel du Tourisme de Congrès» je me posai de graves questions sur la manière de le traiter. En effet, le titre du rapport ainsi que le sujet du Congrès, soit «Le Tourisme de Congrès», signifiait l'invalidation partielle de la notion du tourisme telle qu'elle était généralement admise. C'est ainsi que je relus plusieurs fois le titre du rapport qui m'avait été confié, afin de me convaincre qu'il ne pouvait y avoir aucun doute quant à l'inclusion des congres dans la thématique du tourisme. Je dus enfin me persuader qu'il ne pouvait en tre autrement et qu'il ne me restait qu'à traiter le sujet spécifique sans affronter les problèmes plus généraux et plus fondamentaux de la notion du tourisme.

The findings of the Steering Group on Food Freshness in relation to the compulsory date marking of food contained in their Report, reviewed elsewhere in this issue, has brought within measurable distance the Regulations which were, in any case, promised for1975. The Group consider that the extension of voluntary open date marking systems will not be sufficiently rapid (or sufficiently comprehensive) to avoid the need or justify the delay in introducing legislation.

Le tourisme peut revêtir des formes très diverses et on peut le subdiviser en de multiples catégories en prenant comme critère le motif du voyage, la durée du séjour, la provenance du voyageur, etc. Estil utile pour l'analyse du tourisme de faire des subdivisions en partant du mode de transport utilisé par le voyageur et de parler de tourisme ferroviaire, aérien, maritime ou routier? On peut répondre affirmativement à cette question pour autant que le moyen de transport employé ait une influence considérable sur l'extension du tourisme ou sur la manière de voyager ou d'organiser son séjour.

L'économiste qui aborde le problème de la propagande est frappé immédiatement par le curieux contraste qui existe à ce sujet entre la vie réelle et la théorie économique. Alors que dans la première, la propagande occupe une large place, la seconde, au contraire, ne s'en occupe que fort peu — si elle ne l'ignore pas complètement.

I. La préoccupation constante de l'hôtellerie industrielle — comme celle de l'exploitation commerciale d'une industrie, quelle qu'elle soit — est de connaître le rythme de l'affaire sous toutes ses faces, de tâter régulièrement le pouls de l'exploitation tant pour en rectifier à temps la gestion que pour en faire valoir les aspirations légitimes. On le sait déjà, mais il convient de le dire une fois de plus.